lepoids de la balle 120;90;245 varie de 435 (orge) à 500 kg (485 kg en moyenne avec de la paille à moins de 13% d’humidité, les poids inférieurs à 470 en blé sont plus que rares) en paille classique selon son humidité et la force alimentation de la presse. Sources : hautsdefrance.chambre-agriculture.fr
Ladisposition des agriculteurs à vendre la paille Le pemie fein à l’expo t de paille est aujoud’hui économique : en effet un prix de 25 euros la tonne de paille en andain serait nécessaire pour rendre cet export intéressant, or le prix actuel se situe entre 15 et
Aulieu de coûter 100 €, la tonne de paille est revenue à environ 120 €. Au prix de la paille, du pressage et du transport, il a fallu ajouter près de 200.000 € pour mener à bien l
Fast Money. Notre agriculture chiffres clésChiffres et barèmesCalcul des fermagesValeurs vénales des terres agricolesBarème d'entraideBarème d'indemnisation, dégats et évictionPrix de la paille et des fourragesPrix des pensions à herbageRéglementation Barème des prix de la paille et des fourrages pour 2020-2021Ces tarifs HT sont donnés à titre indicatif et sont destinés à servir de base de discussion entre le vendeur et l'acheteur. PailleDépartements Nord et Pas-de-CalaisPaille en andain à la tonne 15-23 € / TPetites balles 12 à 15 kg 2 à € la balleBalles rondes de 300 kg 12 à 14 € la balleBalles rectangulaires de 400 kg 15 à 20 € la balleDépartement de l'OisePaille en andain 32 à 38 €/tonnePaille, valeur départ champs Balles rondes environ 280 kg € la balleBalles rectangulaires 400 –420 kg* 8 € la balleSi départ ferme, y ajouter les frais de transportPetites balles 2,5 à 3,5 € la balleBalles rondes de 280 kg 18 à 25 € la balleBalles rectangulaires 400 –420 kg* 27 à 32 € la balle Echange paille-fumierDépartements Nord et Pas-de-Calais1 T de paille en andain contre 1,5-2 T de fumier stabulation1T de paille en andain contre 1,2-1,5 T de fumier dépôt aux champs1T de paille en andain contre 1 T de fumier épanduDépartement de l'Oise Vente de fumierDépartements Nord et Pas-de-CalaisFumier de bovins en tas à la ferme 13 à 18 € / TFumier de bovins chargé, transporté, épandu 20 à 25 € / TFumier de volailles en tas à la ferme 38 à 42 € / TFumier de moutons en tas à la ferme 18 à 22 € / TFumiers d'équins 20 à 22 € / TDépartement de l'OiseFumier de bovins en tas à la ferme 29 à 35 € la tonneFumier de volaille en tas à la ferme 98 à 120 € la tonneFumier de moutons en tas à la ferme 37 à 45 € la tonneFumier de cheval 25 à 32 € la tonne Vente de lisierDépartements Nord et Pas-de-CalaisBovins 6 à 9 €/m3 de lisier purPorc 6 à 10 € de la tonne ou du m3Volaille fiente 43 à 46 € de la tonneDépartement de l'OiseLisier de bovins chargé 4/2/5 18 à 23€ / m3 de lisier purLisier de bovins dilué 1,6/0,8/2,4 8 à 10 € / m3 de lisierLisier de porcs 4,3/3,8/2,6 19 € à 24 € la tonne ou le m3 Fourrage sur piedDépartements Nord et Pas-de-Calais Herbe sur pied fertilisée, à l’hectare pour l’année 500-600 € / ha; Si 3 coupes 1ère 50 %, 2ème 30%, 3ème 20%Si 2 coupes 1ère 65 %, 2ème 35% Herbe mise à disposition non fertilisée 300-400€ / haDépartement de l'OiseHerbe sur pied, 6/7 mois non fertilisée 300 € à 400 € l’hectareRay-grass sur pied 10 000 UFL - 10 TMS Tarif 2021 50 à 60 €/T MS, tarif conjoncturel 2022 60 à 80 €/T MSLuzerne sur pied Tarif 2021 65 à 77 €/T MS, tarif conjoncturel 2022 100 à 140 €/T MS EnrubannageDépartements Nord et Pas-de-CalaisEnrubannage 55% MS prairies 60 à 85 € /T brute soit 25 à 30 € la balleEnrubannage 55% MS RGI 80 à 100 € / T brute soit 30 à 35 € la balleEnrubannage 55 % MS luzerne 90 à 120 €/T brute soit 35 à 45 € la balleDépartement OiseEnrubannage 55% MS prairies 60 à 100 € /T brute soit 25 à 40 € la balleEnrubannage 55% MS RGI 80 à 140 € / T brute soit 30 à 50 € la balleEnrubannage 55 % MS luzerne 90 à 150 €/T brute soit 35 à 60 € la balle Foin de l'annéeDépartements Nord et Pas-de-CalaisFoin de luzerne bonne qualité 120-170 € / TFoin RGI bonne qualité 100-150 € / TFoin de prairies bonne qualité 90 à 140 € / TDépartement de l'OiseConditionnement en balles rondes 300 kg ou carré de luzerne bonne qualité 120 € à 195 € la tonne bruteFoin RGI bonne qualité 100 € à 160 € la tonne bruteFoin de prairie bonne qualité 90 € à 150 € la tonne brute Fanes de poisDépartements Nord et Pas-de-Calais Fanes de pois de conserve andain 30-45 € / T bruteDépartement de l'OiseFanes de pois conserve en andain 35 à 45 € la tonne Maïs ensilageDépartements Nord et Pas-de-CalaisMaïs ensilage au silo, 35 € / T bruteConsommable 32% MSDépartement de l'OiseMaïs ensilage silo 40 € / Tonne bruteConsommation 32 % MS MéteilDépartements Nord et Pas-de-CalaisMéteil ensilage au silo 20 à 30 €/T brute 30% MS Betteraves fourragèresDépartements Nord et Pas-de-CalaisBetteraves fourragères 17 à 20 € / T brute Prix départ de l'exploitation chargement compris 16 à 20 % MSDépartement OiseBetteraves fourragères 30 à 35 € / T brute Prix départ de l'exploitation chargement compris 16 à 20 % MS Ces prix ne tiennent compte que de l'aliment grossier. Il sera donc nécessaire d'ajouter le travail, le paillage, l'eau, les concentrés, les minéraux et le logement. Il est fortement conseillé aux intéressés de passer des accords écrits, précisant les quantités et qualités de nourriture, les prix et durées de la pension, pour éviter toute discussion au moment du règlement.
Combien coûte une tonne à lisier en cuma? Publié le 19 janvier 2022 Mis à jour le 18 janvier 2022 à 1547 Découvrez tous les chiffres clés des achats de tonne à lisier par les cuma du Grand Est. Capacités des remorques, équipements d'épandage, prix d'achat la frcuma Grand Est passe les achats de tonne à lisier à la loupe. Les chiffres à effluents liquides sont soumis à des règles d’épandage qui ont évolué progressivement pour aboutir à un cahier des charges assez précis. Aussi, les cuma ont eu deux approches différentes concernant leurs achats de tonne à lisier. Soit attendre l’arrivée des obligations, soit anticiper pour mettre à l’épreuve l’organisation collective avec des machines plus complexes. Evolution des achats des années 90 à aujourd’hui Historiquement, beaucoup de cuma du Grand Est ont répondu à la demande d’adhérents qui sont passés progressivement aux normes et qui ont construit des fosses à lisier. Avec les eaux de lavage, des fosses pas forcément couvertes et des types de bâtiment différents, la valeur fertilisante des effluents liquides n’est pas toujours très forte. Ainsi, les achats de tonne à lisier des années 90/2000 ont été propices à des équipements assez simples. En outre, l’aspect pratique et la facilité d’utilisation représentaient les premiers critères. Des machines de capacité 9 à 14m3, avec un bras de pompage latéral se sont achetées pour des budgets de moins de Ensuite, le développement de fermes d’élevage plus vastes, et des choix de bâtiments moins gourmands en paille ou avec des troupeaux laitiers présents à l’année en intérieur ont amené à devoir valoriser des produits liquides agronomiquement plus intéressants. Les années 2000/2010 ont permis à certaines cuma de passer à la taille au-dessus. Des tonnes à lisier de 16 à 18m3 de capacité, pour pouvoir aller épandre plus loin, mais toujours avec des buses palettes dans la grande majorité des cas. Ce n’est que depuis 2010 que des investissements spécifiques sur la partie épandage apparaissent. Avec notamment des pendillards ou des enfouisseurs. Dans un premier temps, ils ont concerné des cuma ou certains gros élevages qui voulaient optimiser leur apport. Mais depuis les dernières années, la méthanisation s’invite dans certains groupes qui font le choix des outils d’épandage en collectif. Avec encore des évolutions réglementaires en attente, certaines cuma vont probablement programmer des renouvellements pour les respecter. A lire [Témoignages] L’épandage de lisier prend un virage. Le prix d’une tonne à lisier peut rapidement atteindre 100k€ Augmentation de capacité, objectifs d’apport à des dates ou des stades plus précis, qualité des apports pour éviter des pertes d’azote, voilà autant d’éléments qui ont fait évoluer le cahier des charges d’une tonne à lisier. Les achats de tonnes à lisier des 3 dernières années n’ont plus rien de comparable à la décennie précédente. En outre, les 36 machines achetées entre 2018 et début 2021 font en moyenne 16,8m3. Le prix de ces tonnes à lisier atteint en moyenne hors accessoire arrière. Mais un enfouisseur ou un pendillard 12 à 15m peut réhausser d’environ 20 à l’investissement, qui atteint vite les sans aller sur des niveaux d’équipement complexes ou des marques haut de gamme. Contrairement à d’autres machines, une tonne à lisier reste longtemps dans la cuma. Et dans certains cas, les petites machines anciennes sont conservées et associées à des outils plus gros ou plus équipés. Ainsi, cela permet d’offrir des niveaux de services et des tarifs différents avec parfois 3 catégories tonne 8 à 10m3 1 essieu ; tonne 16 à 18m3 simple ; tonne 18 à 20m3 avec équipement arrière. Un marché dominé par Joskin et Pichon Par ailleurs, sur les 200 machines du Grand Est en suivi, deux marques se détachent nettement Joskin et Pichon. En outre, elles regroupent à elles seules les deux tiers du parc. En outre, le réseau commercial et les conseils techniques avant achat pour trouver les bonnes options demeurent importants dans le choix des groupes. D’autant plus que les utilisations sont variées. A ce jeu, certaines marques font leur apparition avec des options et des conceptions plus propices à des gros volumes. Mauguin et en moindre mesure Samson ont équipé des cuma où la méthanisation s’est développée. Dans le Grand Est, Mauguin Citagri a équipé plusieurs cuma impliquées dans la méthanisation. Le vieillissement est possible sur une tonne à condition d’entretenir la pompe et les trains roulants. Cela se vérifie avec un parc âgé en moyenne de près de 10 ans. Quelle tonne à lisier pour demain? Quelques cuma ont saisi l’opportunité du plan de relance pour adapter ou renouveler leurs équipements aux nouvelles règles. Des pendillards 12 à 16m, des enfouisseurs, des pendillards à sabots sont en attente de livraison pour 2022. La prise de conscience que des effluents ne sont pas des déchets, mais bel et bien des engrais est là. Même s’il aura fallu nombre d’années pour engager ces évolutions. Les cuma vont y prendre leur part, même si la question de la prestation spécialisée se pose. Aujourd’hui, aucune cuma du Grand Est n’est équipée d’automoteur. Mais certains groupes se rapprochent d’entreprises pour structurer des chantiers efficaces en capacité d’épandage journalière. Les chantiers spécifiques d’épandage de digestat utilisent les mêmes outils, mais sont à une autre échelle d’organisation logistique. Toutefois ils auront probablement une influence dans pas mal de cuma de la région. A lire dans la même série Matériel de transport en cuma combien ça coûte? Moissonneuse-batteuse en cuma des prix d’achat du simple au triple. Prix des ensileuses neuves +60% entre 2000 et 2020.
A un an de la retraite, Guy Aujol travaille toujours à la fourche. D'un geste habitué, il écorne le ballot de paille puis répand les brins jaunes sous le nez de ses limousines. Une paille voyageuse coupée il y a six mois en Essonne, près de Paris, elle a parcouru 450 km pour finir cet hiver dans le ventre des vaches corréziennes. Un cas loin d'être isolé! Grâce à une opération de solidarité montée dans l'urgence, un million de tonnes de paille ont sillonné la France en trains, camions et tracteurs pour aider les éleveurs en manque de fourrage. En 1976 déjà, année de de la grande sécheresse, on avait dû donner de la paille à la place du foin. On n'avait pas perdu une bête », se souvient Guy. Car c'est la sécheresse encore qui a obligé le monde agricole à s'organiser. En général, les élevages disposent de prés où l'herbe, fauchée l'été, devient le foin, utilisé l'hiver. Moins nutritive, la paille ne sert que de litière aux au printemps dernier, il fait beau, trop beau. Faute de pluie, l'herbe ne pousse plus. A Saint-Mexant Corrèze, Guy Aujol ne rentre que 150 ballots de foin dans sa grange, contre 450 d'habitude. Chez ses voisins, la situation est la même. Les éleveurs se tournent alors vers les négociants en fourrage. Sauf que la sécheresse touche toute la France, que le foin se fait rare et que son prix grimpe. J'ai paniqu?, se souvient Pierre Boudrie 49 ans, qui possède 80 à 85 limousines » à Eyrein. D'habitude discuté entre 50 â?¬ et 60 â?¬ la tonne, le cours de la paille flambe tandis que celui de la viande s'effondre, les éleveurs bradant leurs bêtes pour limiter la taille des 000 t vers la CorrèzeSyndicats et chambre d'agriculture s'organisent alors. En Corrèze, la Fédération départementale des syndicats d'exploitants agricoles FDSEA, aidée par les Jeunes Agriculteurs, se met d'accord avec les céréaliers de l'Essonne. L'idée? Plutôt que de broyer la paille dans les moissonneuses â?? comme de coutume en Ile-de-France â??, celle-ci sera récupérée, pressée en ballots et revendue aux éleveurs pour remplacer le foin manquant. Sauf que, pour limiter les coûts, il fallait qu'on effectue le travail nous-mêmes » rappelle Tony Cornelissen, patron de la FDSEA de Corrèze. Des bénévoles corréziens débarquent donc en Essonne et découvrent les champs plats et immenses, l'urbanisation galopante et les routes parfois encombrées de l'Ile-de-France où certains se perdent avec leurs tracteurs! La veille du départ du premier convoi, 100 t de paille partent en fumée à Etampes. D'autres incendies criminels suivront. Comme le 19 août où 185 t de paille et un hangar brûlent à Boigneville. Fin juillet, la pluie fait son retour. Pour les éleveurs français, c'est une bénédiction, car les prés reverdissent. Mais la pluie complique le travail des bénévoles et détériore la paille. Qu'importe ! Entre juillet et début novembre, 27 trains convoient 12000 t de paille essonnienne jusqu'en 20 â?¬ la tonne aux céréaliers, la paille est revendue aux éleveurs 79 â?¬ la tonne, frais et aide du département compris, en gare de Brive. Cela reste cher. Mais c'est un prix d'amis dans une telle situation », souligne l'éleveur Pierre Boudrie.
prix de la paille à la tonne